Casse nocturne

Il y'a des missions, que l'ont accepte en étant conscient qu'elle pourraient être problématique si un membre des autorités en avaient connaissances. Il y'a nombre de guilde qui trempait plus ou moins dans des affaires illégales sans être des guildes noirs, et d'autre plus nuancé sur leurs activités. Les Tomriin Ibechid étaient de ceux là, et aujourd'hui, après de nombreux investissement, ma guilde avait besoin de monnaies sonnantes et trébuchantes. Alors j'avais parler à des contactes, pour trouvé du travail. Il y'avait eu alors une réponse de la "Poulie" le pseudonyme d'une féra wyvern qui avait la main mise sur les contrats du royaume du Parse. Une mission classé "Nuit", ce qui dans son jargon signifiait, illégale dans sa zone d'exécution.

J'avais donc laissé Nogoon à la frontière avec Macédène et choisis Möngön pour la mission. Mon frère elfe noir était discret, plutôt taiseux et assez rapide et balèze, avec la lame à deux main "kholdolt" que je lui avais forgé, ils erait un atout de poids. Nous étions arrivé en ville il y'a donc quelques heures, et avons pris place dans une salle privé d'une taverne luxueuse des hauts quartier de la capitale. ET nous avons attendu. Nous avons profiter bien peu de cette salle au sol de marbres et aux murs de tapisseries de soies, ainsi que de la cruche de porcelaine de vin de Frankreich posé sur cette table de bois ronde laqué. Une femme entra dans la pièce, prenant place dans le fauteuil de velours écarlate nous faisant face, elle était marqué de parcelles peau ornée d'écaille rouge, de deux grandes cornes est es ailes membraneuses dans son dos ne faisait pas de toute sur sa nature de féra wyvern, elle croisa ses jambes galbé, faisant ondulé la soie de sa rouge pourpre en invitant un autre personnage à prendre place.

"Doc!" je me suis exclamer avec un sourire.

Un homme, au visage aussi amicale que mon frère Möngön venait d'entrer, d'apparence humaine avec des lunettes rondes et une tenue impeccable venait de prendre place avec nous.

"Je vois que tu l'a déjà croisé, les rumeurs étaient donc fiable... Des champignon tueur?" COmmenta la "Poulie".

"Oui, une longue histoire." Je répondais avec un sourire en m'adossant aux canapé de cuir d'amateratsu.

Elle eu une expression intrigué, puis haussa élégamment els épaules avant de reprendre.

"Vous connaissez la nature du contrat, voici les détails. Le prince marchand atlante "Vaevae Ia Swags" organise une petite sauterie demain soir. Il va y avoir tout le gratin. Sa garde personnel av être très occupé à les surveiller et les empêcher de s'entre assassiner... Une occasion parfaite, pour m'apporter un souvenir de sa salle d'exposition personnelle. Je veux une chose, la graine-oeuf de spriggan qu'il a "trouvé" à Mercalit à la frontière nord. Si vous voulez lui piquez d'autre truc, je m'en fiche." Elle posa sur l'accoudoir de son fauteuil la pipe en ivoire qu'elle fumait jusque là. "C'est pour ça que j'ai engagé le "doc", les graines-oeuf sont très fragile, il s'assura de garder en vie la petite spriggan ne gestation à l'intérieur. Vous me l'amenez, ej vous paie une jolie somme, et ont retourne tous à nos activité plus... Avouable. Une chose... Je ne veux pas de victimes. Les morts sont dur à faire effacé des mémoires. SI vous avez des questions, c'est le moment."

Je vida d'une traite le reste de ma coupe de vin en posant ems mains sur mes genoux, signe que pour moi, c'était bon. je fixais alors le doc, avait il des question? Ca ferait notre deuxième contrat en coopération.

j'ai une règle bien précise : je me refuse toute activité qui peut être considérée comme criminelle, sauf si cela porte directement préjudice à un véritable criminel. Que fait-je ici alors? C'est très simple : la mission m'à été vendue comme "voler à un voleur", donc je ne voyais pas d'objection à ce que je me lance dans l'opération, en plus cela est bien payé. Loin de moi l'idée d'être avare et de vouloir une quantité d'argent astronomique, juste que l'argent est nécessaire en ce monde si l'on souhaite survivre, même si je juge déjà gagner bien assez avec mon travail, avoir un petit plus n'est pas de refus.

Mon employeur me fait signe d'entrer dans la salle, ce que je fait sans un seul mot au début. C'est cependant avec surprise que je remarque l'individu déjà installé, mon ancien camarade, celui m'ayant aidé à éliminer la menace fongique il y a quelques temps. Je regarde Chono sans vraiment changer d'expression plus que par le haussement d'un sourcil. Quand le surnom "doc" est prononcé par mon ancien partenaire, Je ne perd pas mon temps à répondre.

- Ho? Vous ici? Drôle de coïncidence.

C'est à ce moment que la Féra Wyvern réagit. Elle a été mise au courant des activités que nous avons réalisées lors de notre dernière rencontre, ce qui ne m'étonne pas vraiment pour être honnête. Je me met contre un mur, refusant de m'asseoir car je préfère être debout pour le moment. J'écoute la mission sans rien dire, laissant madame parler afin de ne pas la perturber dans ses explications. Suite à cela, je prend la parole pour effectivement poser une question, m'avançant de pas plus de deux pas vers elle.

- J'ai une question en effet : Si, par une malchance absolue, des gardes restaient pour garder la salle d'exposition malgré l'évènement, ce qui ne m'étonnerais pas pour être franc, La violence non létale est-elle autorisée?

Je commence à faire le tour, passant derrière Chono avant de m'arrêter quand je suis hors de son champ de vision. Je sort mon masque de ma sacoche et l'installe sur mon visage, déformant très légèrement ma voix à cause de la façon dont le masque est conçu. Je continue ensuite mes paroles.

- Je pose la question car étant docteur, si cela est nécessaire, il ne m'est pas étranger de concocter des inhalations pouvant endormir une personne pendant une ou deux heures. Je pourrais très bien en concevoir en avance, voir faire des versions aux effets moins puissants. Cela pourrait potentiellement nous aider à réaliser notre mission sans accros.

"Comme je vous l'ai dit docteur Domeniez, ne laissez pas de cadavre dans votre sillage, pour le reste vous avez carte blanche." Répondit "La Poulie".

Elle siffla et un domestique apporta des parchemins. les disposa sur la table et nous constations que c'était des cartes ainsi que des invitations issus d'un faussaires locales.

"Donc niveau infiltrations je vois trois voies... Ont peut passer par la grande porte sous couvert des fausses invitations que je vois là, nous arrangez sur place pour nous éclipser jusqu'à la salle d'exposition et trouver une voie de sortie." Je résumais.

"Si ont passe par la grande porte, ils nous faudra... Des tenues plus adéquate à des invité du prince marchand." Fit remarquer Möngön en en croisant les bras.

"En effet. Mais nous avons aussi l'options des égouts. Mais de la réputation de Vaevae, il est assez paranoïaque, il y'aura surement une surprise en bas."

"Mais cela ne nous mènera tout de même qu'au rez de chaussée, il faudra toujours grimpé à la salle cible." Ajoutais mon frère elfe noir.

"La troisième voie, c'est de passé via la demeure de Dame Lenb, qui est absente depuis quelques semaines. Et de là grimpé les murs de la villa de Vaevae, infiltré son jardin et passé directement par le balcon de la salle d'exposition que je vois sur la carte ici." J'indiquais en désignant le lieu de l'index.

La voie sans le moins de risque d'affrontement, cela restait de nous infiltré en passant par la grande porte paradoxalement. Celle où j'étais sur qu'il aurait du danger c'est les égoûts. Quand ont revient de Mercalit, ont peut en ramener pas mal de saloperie du Felhlenore. La voie des jardins, risquer, mais comme la plupart des gardes surveillerons les inviter, et que Vaevae n'a pas non plus une armée... Trois, peut être quatre gardes à tout pété. Deux dans les jardins je dirais, surement deux autre dans la salle d'exposition. Peu importe notre voie d'entré, il y'avait fort à parier que nous devrons en utiliser une autre pour sortir une fois notre paquet récupérer.

"Doc? Vous avez une préférence?" Je demandais au médecin qui avait mit son masque effrayant pour une obscur raison.

Je prend note mentale de tout ce qui est dit par les personnes présentes, analysant toutes les propositions, leurs risques, leur possible taux de succès, mais aussi ce que chaque membre du groupe pourrait accomplir pour faciliter la mission. Étant docteur, je ne serais utile que si je me retrouve capable d'utiliser mon "tour de passe-passe". De mémoire, mon acolyte est plutôt tourné vers le feu, ce qui ne nous sera pas forcément utile dans cette mission, sauf pour forcer une serrure ou quoi que ce soit du genre. Quand il en viens au partenaire de Chono, difficile de savoir ce qu'il peut faire, c'est la première fois que je le vois, je devrais donc lui demander... Ou voir sur le terrain si jamais il refuse de parler.

- Il y a des risques avec toutes les voies possibles malheureusement...

Je m'approche un peu, posant d'abord mon doigt sur l'entrée des égouts, parlant avec une voix légèrement déformée par mon masque.

- Comme il a déjà été mentionné, on ne sait pas ce qui se trouve dans les égouts, il est possible que ceux-ci renferment quelque chose de possiblement pire que les gardes à l'intérieur de l'établissement à infiltrer, et comme le dit un dicton : "Mieux vaut l'ennemi qu'on connait que l'ennemi qu'on ne connais pas".

Je fait ensuite glisser mon doigt, désignant la voie parallèle qui nécessite de passer par un autre bâtiment, la demeure de dame Lenb.

- Cette voie est bien plus sécurisée que les égouts, mais même si on a l'information que tout les gardes surveilleront les invités, on ne peut pas mettre de côté la possibilité d'une sécurité paranoïaque et que l'ont croise des gardes en passant par là.

Je désigne finalement l'entrée principale, là où tout les invités seront au début, la possibilité de se fondre dans la masse

- Si nous trouvons la bonne tenue, avec les fausses invitations, nous réussiront à entrer à l'intérieur de la demeure, mais cela implique d'avoir le regard d'au moins un garde rivé sur nous. La difficulté ne sera pas d'entrer dans ce cas, mais de s'extirper de la masse sans attirer l'attention sur nous.

Je retire ensuite ma main des cartes, attrapant une des invitations pour la mettre dans ma poche dans le calme. Une fois cela fait, je reprend la parole pour donner mon avis définitif.

- D'un point de vue logique, je suppose qu'il serait plus efficace d'entrer par la porte principale. Utiliser les invitations pour s'infiltrer sous le nez des gardes et nous faire passer pour de simple invités fera de nous des individus moins suspects. Une fois la graine récupérée cependant, fuir par la porte principale deviendra impensable, et par les égouts trop dangereux, notre seule porte de fuite sera donc de passer par la demeure de Dame Lenb.

Je me déplace ensuite, retournant me poser contre un mur et croisant les bras. J'ai expliquer mon point de vue sur la situation et ai donné mon avis, à eux de décider si mon raisonnement est cohérent ou non, je suis docteur après tout, pas stratège. Je regarde rapidement dans ma sacoche, j'ai bien pensé à prendre le matériel nécessaire pour faire mon produit anesthésiant par inhalation. je hoche la tête, puis fini sur ces mots.

- Si jamais les gardes se trouvent être une trop grande nuisance, je peux toujours les mettre hors d'étât de nuire temporairement.

La "Poulie" à un demi sourire qui fait scintiller ses écailles écarlates. Elle tape dans ses mains griffus et trois servantes elfes apparaissent. De belles jeunes femmes en tenues de soies et de voiles locale.

"Mesdemoiselles, trouvez donc à nos trois beaux garçons, des tenues appropriés pour une soirée mondaine... Et comme celle ci sera masqué, faite trouver trois masque... Non, deux suffiront, le docteur à déjà le siens." Indique t'elle avec malice. "J'espère que vous me rendrez les tenues en bon états messieurs."

L'essayage fut vite expédié, les servantes savaient y faire. Pas d'armure à porter, au lieux de cela, des tuniques coloré, brodé de dorures, un sash et un saroual aux colorimétrie adéquate. Je n'avais pas eu droit à plus, bien sûr dans des tons rouges et orangé. Mon frère lui, avait eu droit à des teintes bleu et blanches et une cape!

Nous sommes plusieurs heures plus tard, la soirée va commencer. la "Poulie" nous a briefer plusieurs fois sur nos identité d'emprunts. Le doc reste un docteur, Son identité est néanmoins celle de "Loïc de Haute Montagne" un médecin de la cours du seigneur des terres de l'est du Frankreich. Mongon est présenté comme Amady Follo, riche héritier d'une famille du Gothland possédant de bonnes affaires. Et moi on m'a fourguer le rôle de "Nassim Altarem" Un capitaine d'une compagnie mercenaire de l'ouest du Lusitania.

musique d'ambiance:

Notre calèche, prêté par la "Poulie" s'arrête après avoir attendu que les trois de devant soit passé, devant l'entré d'une villa sublime. Toute de marbre à la mode Parse avec des dômes doré et sur plusieurs étages. Le service de sécurité est lui bien visible, des hommes en tenues noir, des plastrons de cuirs sombres et aux masques d'argent grimaçant son visible ça et là.
Nous sommes arrivé, les portes s'ouvrent, un serviteurs humain aux teint halé et portant un turban coloré nous invite à descendre, il nous indique les portes de laiton de la villa et nous marchons vers elle. Elles s'ouvrent sous l'impulsion de deux serviteurs mages portant la même tenu que le précèdent, et nous sommes ensuite annoncé.

"Sir Loïc de Haute Montagne, médecin seigneuriale du Frankreich. Sir Amady Follo, aîné de la famille marchande des tisserand du Gothland et le capitaine Nassim Altarem, des lames doré du Lusitania." Clame t'il avec beaucoup de sérieux et de voix.

Face à nous une grande salle aux sol fait d'une mosaïque élaboré et coloré, des niches aux murs avec moult canapé et fauteuil de velours, une fumé coloré en émanant lorsque les occupants exhumaient de leurs poumons les tabacs exotiques qu'ils savouraient. D'autre admiraient des danseurs ou danseuses de races exotiques et diverses. Des tables de bois laqué d'Amateratsu et vêtu de nappes de soie d'Élénés présentait milles et uns plats aux allures savoureuses. Mais le plus fou ,c'était les gens, une bonne plus d'une centaines de convives en tenues diverses, de toutes patries et origines! les conversations faisaient couvrir une nappe de bruit au dessus de l'assemblé. Et le plus fou, tous et toutes étaient masqué. D'ailleurs, je me coltinais ce foutu masque de loup en laitons... Mongon lui avait eu droit à un aigle. Salaud! Le doc lui, bah... Vous savez bien.

Un groupe de personnes arriva à notre rencontre... Je profitais du peu de temps avant leurs arriver pour dire à mes compagnons.

"Ont ce retrouve dans une demi bougie dans une des niches... Contrôlé les issus et les gardes." Je murmurais avant de devoir me laisser prendre au jeu.

Avant même que je ne puisse faire quoique ce soit de plus, les courtisans avaient alpagué mes coéquipiers. Une féra bovines au teint de porcelaines et aux argument féminins... Conséquent, suivis d'un nain à la barbe fort soignée lui arrivant au nombril, s'entichèrent de mon chers docteur. je crus comprendre, qu'ils avaient fort inquiétudes sur des sujets tout à fait privé en lien avec la capacité à procréer entre espèce.

Mongon lui, plus là, je priais les ancêtre qu'il soit... Urbain. Pour ma part je me retrouve avec trois énergumènes. Un types aux cheveux gris et portant un masque de taureau, ce qui pour un aqualan dévoilait d'un âge certains. Il avait une tenue d'officier mais d'après ce que j'en savais, vieux de trois décennies de trop. Le deuxième était un jeune, un féra aux attributs canins, visible par une queue touffu noir et des oreilles sur les côté effilé et poilus de même coloris, il portait un masque de hiboux, chose curieuse et une épée d'apparat comme savent si bien les forger ces foutus Franky. Belles mais inutiles. La troisième personne, une élémentaire, de feu visiblement, ses yeux était d'iris de feu littéralement et au fond noir. Elle avait la peau sombre et des cheveux de jais lisse en tresse. Son visage caché part un masque de serpent.

"Vous êtes un capitaine!" Dit cette dernière en me prenant par le bras. " Vous devez avoir des histoires de combat à raconter! Je suis Isabella Rojas, je viens de Tolèdia. Racontez nous avec un petit rafraichissement." Disait elle avec un langage corporelle plus que langoureux.

Ai je l'air si dupe? Soit.

"OUi, ma compagnie à déjà fait plusieurs raides sur les camps de bandits qui opèrent sur la route commercial de Innocentis II qui mène au sud. Mes gars sont encore jeune, mais volontaire." Je répond.

"Avez vous déjà combattu contre des créatures du désert capitaine Altarem?" demanda avec engouement le jeune féra. "Veuillez m'excusez, Valère Lupame. Je viens de m'engager dans les gardes frontières du Frankreich."

"Je suis honoré sir Lupame, je me disais bien avoir reconnu la facture des forges du Frankreich de votre épée! j'ai un bon ami qui forge des armes avec beaucoup de maitrise, il m'a appris quelques trucs." Je répond avec un air réjouis pour appâté le jeune chien féra qui semble gêné par un compliment de la part d'un type de ma carrure.

"Capitaine Altarem, commandant Askarius Makraius de la troisième flotte aqualan. Ravis de voir un autre militaire avec un peu d'expérience. Les gens ici sont si désinvolte ou vulgaire." Me salua le vieil aqualan.

"Mes respect commandant Makarius, la troisième flotte, celle qui a combattu au nord du Burgonde pour contrer la flotte pirate de Rakam Vermeil. C'était un peu avant ma propre naissance, mais l'exploit est ancré" Je complimentais le vieil homme qui bomba le torse avec fierté.

"La flotte de Vermeil, j'étais à bord du "Poing d'Idunn" à ce moment là, en tant que capitaine! J'ai l'honneur d'avoir envoyé deux de ces navires de ruffiant par le fond."

"Voyons commandant Makarius, laissons un petit peu notre chère capitaine flamboyer aussi avec nous! Allons prendre rafraichissement pour accompagner ses récits!" Intima avec un petit rire séduisant dame Rojas.

Foutu sable et charbon... J'ai passé ma demi bougie suivante à boire du vin Parse, pas le meilleur donc, et raconter des exploits de la guilde en les faisant passer pour celle d'une compagnie mercenaire fictive!  Le vieux aqualan y allait de commentaire, tel tactique lui rappelant une de ses vieilles batailles. Le jeune Lupame lui buvait mes paroles, quand je le questionna, il avoua avoir été porté à un rôle d'officier par sa famille riche et influente et ont sentait tout le doute qu'un jeune inexpérimenté pouvait éprouvé à son premier commandement. Quelques conseil généraux mais véridiques, un sourire et une tape amicale virile sur l'épaule et il allait mieux. Dame Rojas elle, vantait ma forces à chaque récit transformer. Et elle avait l'habitude déroutante d'avoir les iris se courbant en coeurs enflammé quand elle me fixait un peu trop.

PAr mes ancêtres! Sortez moi de là. Et un dieu ou un ancêtre m'entendit! Un homme aux longs cheveux blonds soigné et aux yeux d'un clair cristallin approcha, dans une tunique de saphir et une cape immaculé brodé d'or. Sous le regard déçu de Lupame et courroucé de Rojas il s'adressa à moi. Son masque de renard était finement ouvragé et j'en était certain, d'or.

"Capitaine Altarem?.. Sir Follo demande à vous voir pour discuter de votre contrat commercial comprenant le docteur De Haute Montagne."

"Merci d'avoir eu la bonté de m'en quérir... Sir?" Je demandais par politesse et avec reconnaissance.

"Sir Vulpérin. Je me permet, avec bienveillance, de vous remplacé auprès de dame Rojas, les manufactures d'instrument martiaux de milady me fascine grandement." Dit il avec un sourire étrange.

Je rejoins alors mon frère et le doc dans une des niches, prenant place dans un des canapé confortable, tirant les rideaux de soies rouges pour nous masquer. Je prend la bouteille de vin franky sur la table et ne bois une lampé.

"Bon sang, les gens aiment s'entendre parler! Rah, merci d'avoir trouvé un gars pour me sotir de là mon frère." Je remerciait Mongon. "Doc? Mongon? Des nouvelles? J'ai compté pour ma part douze gardes. Ils ont l'air assez costauds et équipé. Quatre dehors, huit ici dans la grande salle et sur les balcon. Au moins trois archers."

Mon frère me fixa étrangement... Il n'aimait aps parlé... QUoi il avait marre de causer?

"Frère, je n'ai envoyé personne te quérir, c'est un type à masque d'or de renard qui m'a dit que tu m'avais demandé..."

"Doc?" Je lui demande alors, voilà une nouvelle qui ne plait guère.

Il ne faut que quelques minutes aux servantes pour nous trouver des tenues plus adaptées au milieu dans lequel nous comptons nous rendre. J'observe ainsi cette nouvelle tenue, une bien jolie ma fois, donnant un air de noblesse timide, ne tapant pas trop sans l’œil sans trop passer inaperçu, parfait. Je met la tenue, équipe immédiatement mon masque que j'ai du enlever pour changer de tenue, et remet la sangle de ma besace sur mon épaule : Je ne me rend jamais nulle part sans un minimum de matériel médical... Et mon arme au cas où, cachée dans ma tenue.

Petit saut dans le temps, nous sommes maintenant arrivés à l'entrée du lieu de rendez-vous. Nous entrons sans réel problèmes grâce à nos fausses identités et nos invitations et nous sommes annoncés, Je n’apprécie par entièrement le nom que je doit porter en cette soirée, mais je doit faire avec pour le moment. Nous entrons et observons très rapidement la foule déjà présente, chose qui ne me dérange pas énormément, j'ai l'habitude des grandes assemblées. Je regarde autour de moi et hoche simplement la tête à ce qu'annonce Chono, faisant note mentale d'être prêt dans une demi-bougie.

Cette demi-bougie sera rapidement dépensée cependant de mon point de vue. Un couple assez atypique viens s'enquérir de mes conseils concernant certains aspect... charnels de leur vie privée.

- Bien le bonjour Meuh-sieur

- J'ai ouï dirrre que vous étiez docteurrrr, est-ce que vous avez des connaissances sur les accouplements inter-espèces?

Je me tourne ainsi vers les deux individus m'adressant la parole, m'inclinant légèrement pour les saluer et hochant la tête pendant ma réponse.

- En effet, c'est là un sujet que je maîtrise. Quelle est la source de vos inquiétudes?

- Nous aimeuh-rions déjà savoir si il est possible pour nous de coucher ensemble sans qu'il n'y ait de problèmeuh-s.

- Oui, si cela peut vous rassurer, il n'y a rien qui empêche deux membres de deux races différentes de s'adonner aux passions charnelles, à condition que les deux partis soient consentants et vous ne le fassiez pas trop souvent pour éviter de perdre la santé. Enfin, je suppose que cela n'était que la première question, et je pense savoir en quoi consiste la suite.

- Hé bien voila un bien bon docteurrr. C'est vrrrrai que nous avons une autre question pourrr vous : Est-ce que...

Le nain regarde autour de lui, puis il s'approche un peu plus et me chuchote les mots suivants.

- ... Pensez-vous que ma femme et moi pouvons avoirrr... Un enfant?

Prévisible.

- Je me doutais que cette question arriverais. Hé bien figurez-vous que la reproduction inter-raciale...

Les deux me regardent fixement, je peux voir qu'ils sont tendus, qu'il attendent ma réponse impatiemment, et il ont tenus comme ça exactement trois secondes avant que je réponde.

- ... Est tout à fait possible.

Ils soupirent de soulagement, heureux de savoir qu'ils pourront avoir un enfant sans problème, ils se regardent en souriant, mais je leur fait signe pour de nouveau avoir leur attention.

- Cependant, cela ne sera pas aussi simple qu'une reproduction chez deux membres de la même espèce : votre progéniture sera soit de l'espèce de sa mère, soit de celle de son père, et ceux même si il aura en lui des gênes de l'autre parent, c'est ce que l'on appelle la dominance génétique. Bien sûr, il faudra prévoir différents problèmes de santé qui concernent la plupart des nouveaux-nés.

Le reste de ma demi-bougie sera passée à leur expliquer les différents risques possibles liés à l'accouchement et les problèmes de santé que pourrait avoir le nourrisson, ainsi que comment y remédier et qui aller voir si il ont besoin d'un spécialiste, évitant de mentionner mon véritable nom pour des raison... évidentes.

Je me fait ensuite appeler par un individu disant que l'on m'attend pour discuter affaires, je comprend très vite de quoi il s'agit. Je signale donc à mes deux interlocuteurs que je doit me retirer pour des affaires importantes et me rend donc là ou se trouvent mes partenaires. Je les entends commencer à parler. Pour l'instant, les informations que nous possédons concordent. Cependant nous réalisons très vite quelque chose : un homme ayant un masque doré de renard, le même individu m'ayant dit de venir ici, a également demandé mes collègues sans que personne ne le sache. Je fronce les sourcils derrière mon masque.

- Soit l'individu nous connais et veut notre aide pour quelque chose... Soit nous sommes tombés dans un piège.

Je réfléchissais à toute vitesse. Il y'avait donc une troisième partie dans le coups. Cela dit, nous en étions tout de même au même point.

"C'est emmerdant, mais nous devons faire avec la présence de cette partie inconnu dans le plan. Si c'était un piège, nous aurions été isolé et maitrisé. Et d'après ce que je vois..." je fis appel à mon anneau enchanté, mes yeux devenant d'un rouge ardent, me permettant de voir les sources de chaleurs autours malgré certains obstacles. "Les gens ne bougent pas plus vers nous. Il nous faudrait une diversion, pour nous glisser à l'étage des idées?" Je demandais.

"Il faudrait une grosse diversion, ces gardes font partit de la compagnie de mercenaire des "Faucheurs". Il y a peu de chance qu'ils réagissent à de simples éclats de voix. Et de plus, nous devrons éviter de les tuer..." Informa Mongon de manière neutre.

"Ah bon, pourquoi?" je demandais.

"Les Faucheurs sont des amis de mentor Boisdefer." répondit mongon.

"Oh putain c'est vrai. Je me disais que les sales tronches des gardes me parlaient..." Je soupirais. "Bon, de toutes manières, nous ne voulions tuer personnes normalement. Si ont applique plusieurs diversion, cela pourrait marché. Je peut toujours en appelé à mon charme pour que les quelques énergumènes que j'ai croisé m'offre une fenêtre. D ton côté Mongon?"

"L'un des invités que j'ai côtoyé semblait fort porté sur la boisson, mais les serviteurs ont semble t'il interdiction de lui en donner, je pense pouvoir jouer la dessus." Répond l'elfe.

Je me tourne vers le docteur, me demandant bien qu'elle genre de diversion serait dans ses cordes, ou ses ustensiles, enfin bref quoi.

Je réfléchit à des solutions pour nous sortir de cette impasse tout en écoutant ce que racontent les deux compères. Il faut une distraction, une distraction assez forte pour que tout les gardes détournent le regard, mais tout en restant assez faible pour ne pas causer de morts ou de blessés. Je possède plusieurs produits dans ma besace et de quoi confectionner des produits simples, mais quel genre de produit pourrais-je confectionner pour détourner l'attention d'un groupe de gardes.

J'avais originellement pensé à une explosion, mais cela risquerait clairement de faire de trop gros dégâts en plus de mettre les gardes à nerfs et donc plus apte à fouiller chaque recoin, ce qui ne nous serait aucunement bénéfique. Il y a aussi la solution de créer un malentendu entre plusieurs invités pour forcer les gardes à agir, mais cela risquerait de durer trop peu de temps pour que l'on puisse imaginer réduire leur vigilance pendant la durée nécessaire. Je réfléchit à d'autres solutions, puis une me viens en tête, une qui pourrais très bien marcher.

- J'ai une idée.

Je commence à fouiller dans ma besace, j'en sort quelques herbes, un petit bol, un bocal refermable et de quoi écraser des ingrédients dans le bol, ainsi qu'une petite fiole d'eau que je transportait au cas où. Alors que je prépare cela, que je positionne tout pour nous faire gagner du temps, je regarde dans la direction de Chono pour le prévenir de l'idée que j'ai en tête.

- Je vais confectionner une drogue, une qui est particulièrement efficace pour réduire la vigilance des individus qui la consomme en les mettant dans un sentiment d'extase intense. Si je fait inhaler les vapeurs de cette concoction aux gardes, ils devraient perdre en vigilance très rapidement et ne plus faire attention à nos déplacement tant que nous ne sommes pas dans leur champ de vision direct.

J'attends ensuite l'avis de mes alliés avant de me mettre au travail.

Voilà qui était parfait! Je hochais la tête en me relevant avant de taper dans mes paumes avec un air ravis.

"Allez y doc, je vais m'assurer que personne ne fasse attention à vous pendant que vous préparez votre petite mixture ici. Ont ce donne rendez vous dans une demie bougie près des portes menant aux corridor qui donne sur le reste de la villa. Mongon, si le doc a besoin de quoique ce soit, assure toi qu'il l'est, et que personne ne vienne le déranger... Et admirez le spectacle." Je leurs donnais comme instruction en ramenant mes cheveux d'obsidienne en arrière avec un grand sourire.

Je ressors de la petite niche, au centre de la grande salle devant moi, une vacuité naissait en prévision du bal qui approchait de manière imminente. Sur la scène surélevé qui accueillait les musiciens, une femmes d'âges mûrs à la robe rouge scintillantes de gemmes précieuses débutait un chant endiablé. J'aperçu dame Rojas alors que j'vançais avec assurance vers le centre de la salle, et lui pris délicatement la main. Elle referma ses doigts délicats et ardent sur ma main robuste. Un sourire lui barrait le visage de plaisir.

let's go x):

"Vous m'offrez une danse, capitaine?" Demanda t'elle avec un air frippon.

"Je vous offre une inoubliable expérience, milady Rojas." Je répondis en imitant le ton de sir Vulpérin un peu plus tôt.

Un rire lui échappa et mes bras capturèrent ses hanches fines, amenant son corps contre le mien. Ce fut un danse intense, de celle que l'ont accomplit dnas les pays où le soleil est toujours chaud et les gens séduisant comme à Tolédia.
Les convives étaient absorbé par notre duo tournoyant et sensuelle. Les femmes agitaient de grands éventails pour se rafraichir, les hommes déglutissaient et la chanteuse elle allait de plus ne plus dans la passion de son chant. Certains pensent, que l'ont peut se battre pendant des heures ou danser pendant des heures. Ces deux activités sont si intenses qu'aucun mortel ne peut s'y appliquer autant, les meilleurs comme moi par exemple haha, peuvent tenir la cadence sans aucunes pauses pendant une bonne dizaine de minutes néanmoins. Lorsque nous avons saluer l'assemblé avec milady Rojas, elle était en liesse et nous acclamait. Il fallait dire, que je savais jouer de mon charme et ma compagne éphémère aussi.
Je ne put alors lui refuser son invitation tacite, elle garda s amain dans la mienne, et les hanches ondulantes comme les flammes d'un bon feu, elle m'attira jusqu'à une alcôve libre aux bords de la grande salle alors que les convives se laissaient eux aussi aller à la danse salvatrice. Je ne ressortis de cette alcôves qu'après un quart de bougie, les cheveux en batailles et des griffures sur les omoplates. Cela avait été une nouvelle danses bien plus intense.
Je marcha rapidement jusqu'au point de rendez vous, y trouvant comme prévu mes deux comparses.

"Vous avez réussis à diffuser le parfum du doc?" Je demandais en m'appuyant sur le mur via mon épaule.

Je ne perds pas de temps et commence très rapidement à confectionner ma drogue, une assez puissante pour altérer la perception des gens qui en inhalent les vapeurs. Je combine ainsi plusieurs produits stockés dans ma besace et les écrase avant de les mélanger. Le dosage est important et je ne doit pas faire la moindre erreur, certains ingrédients peuvent se révéler mortels en trop grand dosages et la drogue n'aura pas d'effet si je n'en met pas assez. L'avantage, c'est qu'il n'y a aucune distraction pendant toute la préparation, ce qui veut dire que je peux me concentrer sur la drogue que je compte utiliser contre les gardes.

Sans distraction, et sans oublier quoi que ce soit, j'arrive assez rapidement à concevoir le fameux "parfum". Je bouche le haut de mon récipient pour éviter que nous soyons nous mêmes affectés par les vapeurs, ce qui serait très fâcheux pour la réussite de notre mission. Je sort ensuite, à mon tour, de la niche, cachant au mieux le récipients que je porte, comptant sur le collègue de Chono pour couvrir mes arrières si besoin. Je passe ensuite dans la foule, faisant bien attention à passer près des gardes. L'objectif est, bien évidemment, de leur faire inspirer les vapeurs afin de faciliter notre passage.

Une fois en position, je retire le couvercle sur le récipient contenant la drogue et je commence à passer non seulement derrière les gardes, mais aussi dernière certains des invités pour éviter que les gardes se doutent d'une tentative d'acte criminel. Bref, je fait passer ça pour un simple effet secondaire d'une consommation de produit psychotrope volatile par un des invités. Les gardes et les invités affectés commencent à ressentir les effets rapidement, au bout d'une ou deux minutes. Ils commencent à tituber un peu, à agir comme si ils étaient très fatigués alors qu'ils se mettent à voir des couleurs qui n'existent pas.

Une fois cela fait, Je reviens vers les portes désignées comme point de rendez-vous en faisant attention à garder le récipient fermé dans ma besace, on peut toujours en avoir besoin si jamais on fait une rencontre imprévue. Je réponds ensuite à Chono.

- Oui, les gardes ont inspirés l'inhalation, ils devraient rester dans un état second pendant minimum une bougie et demi je dirais.

"Parfait! Eh bien allons y tant que nous avons notre distraction!" Je lançais à mes compagnons.

Nous avons alors glissé vers les portes menant aux étages supérieurs alors que la soirée battait son plein dans la salle de réception. Les pauvres gardes, furent facilement distrait par quelques bruits de chopes lancé près d'eux, ouvrant le passage à notre petit trio de voleurs improvisé, enfin pas tant que ça pour moi.

Nous avons pu alors nous introduire dans la villa, montant rapidement vers la salle d'exposition. Nous n'avons eu à nous cacher que d'une seule patrouille, profitant d'une salle inoccupé, probablement un salon de thé aux murs couverts de tableaux pour le moins précieux.

La salle d'exposition était enfin à notre portée, enfin. La grande salle circulaire n'était même pas pourvu d'une porte. Ont y accédait par une grande arche de marbre décoré de fresque, probablement très chers.

Nous avons pénétré dans la grande salle. Circulaire donc, mais s'offrant une dépression qui l'était tout autant donnant à l'endroit la forme d'un bassin aux dizaines de podium, de verrières ou autres étendoirs présentant moult reliques ou artefact étranges. le tout illuminé par la lumière de la lune qui traversait via l'ouverture à l'autre bout de la pièce, donnant sur un balcon en demi cercle offrant une vue vers les jardins.

J'étais captivé par toutes ces richesses, serait ce si grave si nous prenions un petit souvenirs après tout? Mon ami Mongon lui était aux aguets, surveillant l'entré.

"Doc, je crois que j'ai trouvé notre oeuf de dryade... Vous pouvez jetez un coups d'oeil? vérifier que peut l'emmener sans le tuer?" Je demandais au doc Domeniez. "Pas mal votre truc avec les gardes d'ailleurs doc." Je lui lançais avec un sourire.

Je profitais du temps que le doc aurait besoin pour examiner l'oeuf pour faire un petit tour de la salle. C'était fascinant! Il y avait ici des rouleaux de parchemin pulsant parfois d'énergie magique, souvent peu engageante. Des armes aux allures anciennes mais encore redoutable, des morceaux d'armures étranges, d'un métal que je ne pouvais pas identifier sans plus de temps ou de matériel. Il y'avait aussi, comme je le fis remarquer avec amusement, des objets plus, exotiques, comme une épée semblant être fait de friandises, mais au coupant bien réel. Ou même une sorte de fiole contenant un liquide rouge, mais la fiole était ornée d'un visage souriant composé d'un trait courbée et de deux point, mais les deux points simulant des yeux suivaient les gens proches d'elle.

Je m'téais retourné vers le doc pour voir si il avai tfin iso nexamen quand j'entendis un cris. Mongon regarda autours de lui, mais personne n'était visible.

"Des voleurs! AU VOLEURS!!!" Hurla la voix d'une dame.

C'est là que l'on compris, l'un des tableau de la salle d'exposition, dépeignant une dame aux fortes proportions c'était animé et nous pointait du doigts avant de disparaitre de son cadre en semblant courir vers la gauche.

"Docteur! Ont peut filer?!" je lui demandais avec empressement.

Pour sûr, la garde allait rappliquer, il y'avait surement d'autre tableau et cette grosse vache devait savoir exactement auquel se rendre pour donner l'alerte!

Le plan pour distraire les gardes à marché du tonnerre, les gardes présents dans la salle n'ont pas calculés notre départ, nous sommes littéralement partis comme des voleurs. Nous avons pu avancer tranquillement vers notre objectifs, nous nous sommes juste cachés quelques temps dans une salle vide pour esquiver des gardes en patrouille. Nous avons neutralisés une bonne partie des gardes avec les invités, mais d'autres gardes se baladent dans les couloirs, donc si l'alerte est donnée d'une quelconque manière, ce n'est qu'une question de minutes, voir de secondes, avant que des gardes ne nous retrouvent pour nous chasser, ce qui est probablement l'options que nous voulons le plus éviter.

Nous entrons dans la salle ou se trouve notre cible. Je remarque des richesses incroyables et différentes choses qui attirent beaucoup l'attention. Quelqu'un d'autre à ma place serait bien tenté de récupérer plus que nécessaire, mais je ne suis pas de ce genre, je suis docteur, pas voleur, et ce bien malgré le fait que cela rime. Je repère assez rapidement notre cible, l’œuf de dryade. Je m'approche alors que Chono me demande si la récupération de l’œuf est sécurisé en l'état, ce que j'avais de toute évidence l'intention de faire. Je ne fait pas attention au compliment de Chono, trop occupé à observer l’œuf pour déterminer les précautions à prendre.

En effet, c'est le genre d'objet qu'il faut transporter avec délicatesse, de préférence avec quelque chose pour éviter tout choc involontaire. Je regarde rapidement autour et remarque en effet une couverture fine. Repliée deux fois et enroulée autour de la base de l'œuf, cela devrait être suffisant en tant qu’amortisseur. Je m'empresse donc de préparer le futur nouveau-né pour sa première grande escapade quand un cri m'alerte. Je regarde vers ma droite, comprenant immédiatement d'où venait le cri : un des tableaux était vivant, et la personne dans le tableau à pris la fuite, probablement pour prévenir la garde.

Je prend l’œuf avec sa protection dans mes bras, faisant en sorte que le haut de l’œuf reste à l'air libre pour le laisser "respirer". Je regarde ensuite Chono et le préviens que nous sommes prêts à partir.

- Nous n'avons plus le temps Chono, nous devons partir maintenant! je m'occupe de transporter l’œuf.

Il était marrant le doc, mais partir comment et par où? Je regarde autours de nous, les jardins sont plein à craqué de gardes et d'invités qui commencent à s'agiter, et des bruits de pas résonnent de plsu en plus rapproché dans les couloirs... J'ai bien un début d'idée mais.

"D'accord, filer le cul comme un cannetons à sa mère!" Je leurs lance en ayant un sourire que j'espère confiant.

Je m'élance alors, mais pas vers le balcon, qui était le passage le plus évident, mais de l'autre côté vers la salle de réception! Comme nous l'avions vu à notre arrivé cette salle disposait de plusieurs lustres massif en hauteurs et surplombait les invités et plusieurs balcons intérieurs.
Nous courrons à toutes allures, nous aidant de nos mains et presque à quatre pattes pour engager les virages des corridors. Nous croisons bien un duo de gardes, mais les pauvres ont à peine le temps de saisir la situation que nous avons avec Mongon lancer nos bras en plein dans leurs visages, les couchant aussi sec. J'avoue que je me suis perdu, deux fois, mais nous atteignons de justesse un des balcon surélevé qui dominaient la salle de bal. Quatre lustre plus loin, un balcon menant à l'avant de la villa du sir des lieux.

Je prend mon élan, et saute en prenant appuie sur les rambardes de marbres du balcon et atteint le premier lustre, suivis de Mongon et le doc. Notre poids fait grincer les fixations de laitons ouvragé de l'objet, alors après un rapide balancier au dessus des cris alarmé des invités, nous sautons sur les autres, l'un après l'autre. Ne pas regarder en bas, ne pas regarder en bas...

Nous atteignons le balcon menant à la devantures de la villa, un malheureux garde fait les frais de notre arrivé part un enchainement de Mongon et nous voilà presque libre... Il y'a une cariole, juste en dessous!

"Sautez!" Je leurs ordonne prestement.

Ont attéris dans la calèche d'un couple de Midlandais qui venaient à peine de débarquer. Traversant le toit de bois fin et atterrissant sur les banquettes de velours brodé. Je referme la porte du véhicule avec un sourire aux anciens occupants et passe à l'avant, virant d'un bras le cocher étonné.
Je fais claquer les rênes et lances les deux étalons à toutes vitesse. J'entend néanmoins des cheveux se lancer à notre poursuite, au moins trois.

"Doc, c'est le moment de leurs lancer ce que vous pouvez! faut qu'ont les sèmes et qu'ont rentre à la planque!" Je lançais avant de rire quelques peu de nervosité... J'étais très mauvais cavalier. Alors là.

Les virages finissaient souvent en choc et les dégâts collatéraux allaient bon train alors que je me battais avec les lanières de cuirs.

malgré le plan partiellement saugrenu de mon camarade de mission, la fuite s'est relativement bien passée. J'ai gardé l’œuf en sécurité et me suis assuré que ce dernier ne soit pas détruit dans l'action. J'ai manqué d'être séparé du groupe à un moment car je m'occupais plus de l'intégrité de notre prise que du parcours à traverser, mais je n'ai pas vraiment eu plus de problème que ça. Être docteur ne m'empêche pas d'être athlétique et de courir assez vite pour assurer ma sûreté.

Ce n'est qu'après une course effrénée que nous trouvons une calèche. Chono ordonne de sauter et c'est l’œuf accroché de façon sécurisée à ma taille que je saute sur la rambarde pour ensuite me laisser tomber dans la calèche, retenant l’œuf avec mes mains pour éviter qu'il ne se brise ou ne s'échappe. J’atterris assez aisément dans le moyen de transport, traversant le plafond au malheureux prix d'une intense douleur à ma jambe gauche. Rien de cassé, mais disons que je n'ai pas l'habitude de faire ce genre de chute en forme humanoïde.

Des chevaux se mettent rapidement à nos trousses. Comme Chono le suggère, il est temps que je trouve quelque chose pour les ralentir, je réfléchit quelques secondes, il me faut quelque chose de rapide à concevoir et qui serait suffisant pour les ralentir voir les arrêter. Une idée me viens, je commence à préparer quelque chose avec une fiole assez fragile, de l'alcool versé à l'intérieur et un morceau de tissus. Je met le morceau de tissus dans le goulot de la fiole, plongé dans l'alcool et imbibé de ce dernier. je demande à Mongon de m'aider à allumer le tissus et une fois ce dernier allumé, je le lance derrière nous, entre notre carriole et les chevaux des gardes de façon à ce que personne ne soit blessé.

Ma théorie s'avère juste, car au moment ou la fiole se brise et l'alcool se répand au sol, ce dernier prend feu à cause du tissus enflammé. Les flammes ainsi crées sont assez violentes et chaudes pour que les chevaux considèrent ça comme un danger et s'arrêtent pour cabrer, stoppant net la course des gardes.

- En espérant que cela suffira à les dissuader.

L'éclat de lumière doré qui se fit voir sur les murs de pierres clairs des maison attira mon attention. je jetais un regard en arrière, pour voir un mur de feu nous séparé de nos poursuivant. J'eus alors un rire fou. Ce doc me plaisais vraiment! Il avait du style!

Après une petite course pour trouvé un endroit où lâcher la calèche, y mettre le feu, et nous éclipsé et nous avions le champs libre pour rejoindre la planque. Cela nous prit deux heures pour progresser dans la cité sans nous faire remarquer et faire plusieurs détours en vu d'échapper à de potentiel poursuivant caché en filature.

Nous revoilà dans l'établissement dévoué aux plaisirs et aux boissons agréables de "la Poulie". Une des filles nous fait entré quand nous arrivons devant la porte, surveillé par des gardes féras aux allures félines et musculeuses. Nous traversons la salle de réception de la grande bâtisse construite à la verticale pour être ensuite amené dans les sous sols aménagé en plusieurs salons privé luxueux.

La "Poulie" fini par nous rejoindre alors que nous profitions de quelques boissons et mets offerts par la maison. J'avais une faim de Khattu après toutes ces aventures! Lorsque "la Poulie" entra, elel était accompagné d'une féra vache aux formes des plus opulentes qui fit un petit clin d'oeil au docteur.
Mongon et moi avons lancer un regard au docteur féra, pour ma part c'était un regard taquin, pour Mon frère, il semblait surpris.

"Eh bien, il semble que vous ayez réussis la mission. Même cela n'a pas été aussi... Discret que je l'aurais voulu." Lança la femme aux écailles doré avec un sourire en prenant place dans un grand fauteuil et croisant ses longues jambes.

"Certes, mais nous avons l'objectif. ET intact d'après le doc." Je lançais e ncroisant les bras avec fierté.

"Oui c'est vrai. Le docteur vous a visiblement été d'une grande aide dans cette mission. Ma chère amie vous a tenu à l'oeil durant la réception... Vous êtes vraiment adorable docteur." Lança la "Poulie" avec un sourire taquin. "Même si certains semble avoir aussi prit le temps de prendre du bon temps."

Je me raclais la gorge et fis signe au doc de lui donner l'oeuf, pour qu'ont en finisse.

"Voilà qui me semble parfait! Eh bien, docteur, Chono. Je serais ravie de vous revoir pour d'autres missions à l'avenir. Mais pour l'heure. Prenez donc une chambre, cette nuit vous êtes mes invité et au petit matin, vous aurez la joie de voir vos prime poser à votre disposition dans vos chambres respectives. Bonne nuits messieurs! Aux plaisirs!" Lança la wyverne en agitant les doigt avec malice.

je vidais ma chope alors qu'elle sortait avec l'oeuf. Je poussais un soupir et lançais au doc.

"Merci de votre aide doc! Mais moi, je vais aller me reposer, c'est que c'est terriblement épuisant toute cette aventure. SI vous avez besoin d'aide pour une quête, hésitez pas à me contacter! Pour un docteur, vous êtes sacrément flamboyant haha! " je lançais au doc avant de suivre le même chemin.

Et je sortais, allant profiter de la chambre offerte par la "Poulie". Une affaire rondement mené. Des shekel qui allait faire plaisir à la guilde.. ET en parlant de choses agréables. Cette nuit j'ai eu droit à une autre récompense de la part de notre hôte en personne.

Heureusement pour nous tous, nous avons réussi notre mission et avons pu rejoindre notre point de rendez-vous sans plus de complications. Je réitère cependant l'idée que cette soirée fut pour le moins stressante pour moi. Je suis très a cheval sur la légalité de mes actes et refuse généralement d'agir si ce n'est pas dans le domaine légal. Ce soir, j'ai pensé que mes agissements étaient justifiés par le fait que je "volais à un voleur", mais cela à tout de même laissé un goût amer, comme si au fond de moi je savais que je n'aurais pas du faire ça.

Alors que la discussion se lançais entre La Poulie et mes camarades de mission, je restait silencieux, n'ayant mot à ajouter à ce qui avait déjà été dit, ne lançant rien de plus qu'un regard et un hochement de tête dans la direction de la Fera bovine. Je reste un individu assez modeste, je ne suis pas du genre à me vanter de mes exploits. Se vanter est le meilleurs moyen de se créer une réputation irrationnelle et de tomber de haut au moindre échec. Je me contente de donner l’œuf demandé à La Poulie quand on me l'indique. Comme demandé l’œuf est intact.

Je recule ensuite et me positionne derrière Chono et Mongon. Les regardant chacun à tour de rôle alors que La Poulie fini de parler et s'éclipse. Je soupire une fois cela fini, je vais vraiment avoir besoin de repos, le stress combiné à la fuite n'a pas fait du bien à mon endurance. Je prend cependant le temps de préciser par rapport à la fera bovine.

- Concernant madame, je me suis contenté de lui donner des conseils concernant sa vie reproductive, je n'ai rien fait de plus, n'allez pas penser que je me laisse aller à ce genre de choses en mission. Concernant vos propos Chono, je note votre proposition, je vous contacterais peut-être quand j'en aurais le besoin.

Je laisse ensuite Chono partir se reposer et fait de même en faisant signe à Mongon que je m'en vais, lui précisant que selon les circonstances ils n'auront peut-être pas l'occasion de me saluer le lendemain, je ne les attendrais pas au réveil, j'ai des affaires importantes à régler. Je suis donc allé me coucher, ne cherchant pas vraiment à faire vraiment plus que dormir, j'ai besoin de repos. Ma nuit sera plus calme que celle de certains des occupants des lieux, mais ce n'est pas plus mal honnêtement. Je suis reparti le lendemain sans rien demander de plus, saluant juste les dames présentes ici et La Poulie avant de m'en aller.

Je suis docteur, et tant que je le serais, on aura besoin de mon aide quelque part. Ça n'en a pas l'air, mais être docteur est un métier très épuisant, surtout mentalement.