La froide sueur de Luthia. (15 de Helmon 250 C.O) [à évaluer]

Ont ne va pas à Luthia tout les jours et pour cause, malgré sa proximité avec Uruk, cela fait quand même une sacré trotte. J'ai fais le voyage avec Oin, notre herboriste, qui bien sur, n'a pu s'empêcher d'emmener Bob avec elle. Le petit canidé couleur de brioche gambade de ses petites pattes entre nous alors que nous parcourons les quartiers populaire de la capitale de Frankriech. Nous n'avons pas mit longtemps à comprendre que quelque chose n'allait pas, ce qui justifia que nous marchions, notre visage masqué par des foulards, vers la maison de notre ami locale, le cultivateur Jean Leforestier.

Une part significative des gens toussaient, titubaient et avaient le front couvert de sueur mais semblaient quand même frigorifié... Même si Oin était herboriste, elle n'avais pas plus de compétences médicale envers la vie animale que moi, les gens n'étant aps des plantes, nous étions bien avancé.

Nous avons fini par accoster un manant, celui ci nous informa que c'était un docteur d'une guilde du coin qui s'occupait des gens touché. Alors nous avons marché jusqu'au poste de soin du dit docteur. Cela ne fut pas compliqué, nombre de badauds étaient regroupé en file bien défini qui menaient directement vers une sorte de petite maisonnée aux poutres apparentes typique des locaux.

"Jean doit être pris en charge à l'intérieur, comment allons pouvoir nous ravitailler pour Nogoon maintenant?" S'inquiétait Oin en serrant son bâton de mage dans ses mains fine.

"Va falloir arranger ce foutoir, plus vite y'a guérison, plus vite Jean pourra reprendre boutique. Le médecin qui est là doit bien avoir des pistes... reste près de moi, et tiens Bob, il va se perdre." Je répondais en désignant le chien qui commençait déjà à s'éloigner.

Pas la peine de pousser ces pauvres gens pour entrer. Je fais simplement le tours en passant par la rue parallèle à celle ci, trouve les caisses d'un ferronnier laissé contre une façade et grimpe sur les toits. Je passe ensuite par la fenêtre de l'étage et redescend les escaliers de bois grinçant pour arriver au rez de chaussée, voyant que nombre de pauvre types trembles dans des lits de fortunes.
je m'approche du seul gars debout, qui semble savoir ce qu'il fait. bien qu'avec son regard d'encre et d'or il soit assez flippant j'admet.

"hey doc! Salut, désolé de débarquer dans vos affaires... L'un de mes bon copain est malade et hélas, il est indispensable à la bonne santé de notre foyer. y'a quelque chose que je peut faire pour vous? trouver la source de tout ce foutoir, poser des questions ce genre de truc..." Je proposais en faisant un sourire courtois.

Aujourd'hui j'étais à Luthia, m'occupant de plusieurs patients affectés de symptômes similaires, une maladie que je n'ai pas encore pu déterminer, pour quelle raison? Je suis débordé, trop de patients à gérer. Je ne porte pas mon masque en ce moment, je me doit d'observer les patients avec mes propres yeux et possiblement recueillir des témoignages, voir si il y a un comportement similaire entre tout les patients qui aurait pu causer ce problème.

Je n'ai que peu d'informations pour le moment, notamment le fait que cette maladie ne semble pas mortelle sauf pour les plus affaiblis et que la très grande majorité des malades ont mangés quelque chose venant d'une ferme pas loin. j'étais en train de noter ces détails dans mon carnet et de réfléchir à ce que tout cela pourrait vouloir quand un bruit attire mon attention. Je me retourne pour voir plusieurs individus descendre les escaliers pour m'approcher. Il ne m'en faut pas plus pour comprendre qu'ils se sont introduits par les fenêtres à l'étage, ce qui ne me plait pas vraiment.

- Je vous prierais de ne plus entrez ici par effraction comme vous venez de le faire. Si vous voulez que votre collègue soit soigné vous allez devoir attendre malheureusement, j'ai d'autres patients qui demandent aussi traitement et je n'ai que quelques pistes sur leur affliction.

Je marque une pause pour récupérer mon carnet, dans lequel j'ai mis toutes mes notes concernant cette épidémie. Je remet mon masque devant mon visage, non pas par simple envie, mais parce qu'il est possible que je contracte moi-même la maladie si je ne suis pas vigilant, même si jusque là j'ai fait le nécessaire pour ne pas être infecté. J'ouvre le carnet à la page ou j'ai inscrit mes dernières notes, sans ne rien montrer aux individus qui m'ont approchés.

- Je ne sais pas ce qui cause cette maladie ni pourquoi celle-ci se répand aussi vite, mais j'ai pu noter que seuls ceux déjà affaiblis de base peuvent succomber à la maladie si ils ne sont pas pris en charge. Ce qui attire ma curiosité cependant est le fait qu'ils disent tous avoir consommer quelque chose venant d'une ferme proche. On doit découvrir ce qui cause ça et pourquoi cette maladie se répand aussi vite.

Pas vraiment très amicale pour un doc tiens! Il aurait fait givré un élémentaire de feu avec son regard. Bien bien... va falloir parlementer. Il a replacé un genre de masque de piaf sur sa face, ca va rendre la conversation plus compliqué. Mais comme dit, Ont doit sortir Jean de la merde dans laquelle il est, et avec de la chance, il nous fera une ristourne sur les élément qu'ont doit lui prendre.

"Doc, je vois bien que vous êtes dans le dur niveau boulot. Et sa tombe bien! Parce que nos objectif, concorde avec les votre. Plus vite ce truc est guéri, plus vite ont reprend nos affaire et vous les votre. Et heureux coups de bol pour vous encore! Nous sommes avec ma compagnon prêt à partir examiner les fermes du coin pour vous trouver des infos... Je vois pas meilleur arrangement haha!" Je proposais au doc au long manteau en me postant sur sa gauche les bras ouvert en signe d'engagement.

Oin elle regardait avec peine les pauvres types allongé un peu partout. Ca lui rappelait surement la peste que nous avions connu il y a quelques années. heureusement, ici, le miasme semble moins grave. En tout cas, c'est ce que dit le doc.

Je plonge dans mes pensées pendant un petit moment, écoutant tout de même ce que l'inconnu veut me proposer. Je ne pourrais pas aider toutes ces pauvres âmes si je ne sait même pas d'où viens le problème, c'est un fait, on a pas besoin de me le rappeler. Dans tout les cas il aurait fallu que je parte sur place pour me rendre compte du problème, mais étant docteur et non guerrier, il suffisait que quelqu'un décide de s'en prendre à moi en chemin et je suis cuit... Enfin, c'est que je laisse croire.

Si je suis attaqué je ne ferais pas de quartier, je punis autant que je sauve, je soigne autant que je tue, mais je préfère garder ça pour moi, ne pas éveiller trop de soupçons. Je regarde le collier en forme de crâne de corbeau autour de mon cou, pour moi la réponse à ce dilemme est évidente : je vais avoir besoin de leur aide, mais je vais devoir les motiver à m'aider sans me ruiner, et je pense avoir la parfaite combine pour cela. Je me tourne donc de nouveau vers eux et réponds.

- Vous ne m'apprenez rien, la situation ne fera qu'empirer si je ne trouve pas de solution à ce fléau. Je serais bien parti par moi-même examiner les lieux, mais étant docteur je serais une cible facile pour tout malfrat sur le chemin. C'est pour cela que j'ai besoin d'une escorte et c'est là que vous entrez en jeu : Si vous m'accompagnez, ça devrais dissuader toute tentative de nous attaquer, sauf par un animal sauvage. Ce qui veut donc dire que nous arriveront à destination sans véritable problème et que je pourrais évaluer la situation. En échange, votre amis sera soigné et, vu que vous m'avez portés assistance, je ne vous ferais pas payer les soins de votre ami, ça vous conviens?

Les pièces d'or cliquetaient déjà dans ma tête. Il va sans dire que je ne m'inquiétais pas pour jean, qui avait largement de quoi payer ses propres soins, mais si le doc faisais ristourne à ce rat, je pourrais forcé ce dernier à nous filer le matos qu'ont était venu chercher pour une poignée de grains... Héhéhé, oui, parfait.

"Chono, tu ricanne..." Souffle Oin.

"Hein... Oui pardon, ce que je veux dire c'est bien sur, ont vous escorte!" Je reprend en calmant ma cupidité. "Ont vous suis doc!"

Nous avons donc suivis le doc, laissant les badauds en proie à une grande inquiétude en voyant que celui ci ce barrait vers les portes de la cités proche. Nous avons du clamé que le doc allait en quête du remède pour le miasme, et roulé un peu des muscles pour ma part. Heureusement, Oin était plus diplomate et les gens ont finit par croire ce qu'elle disait.
Une fois les pavés de la ville laissé derrière nous, avec la puanteur intrinsèque des environnements urbain populaire, nous sommes arrivé dans les abords de la cité. Je ne pouvais nier que la cité de Luthia vu de l'extérieur était une merveille d'architecture, bien que l'état des remparts était parfois à revoir, les gens préférant laisser les vignes y pousser.

Les fermes elles, étaient pour le moins classique, des granges, des petites maisonnées, des bêtes qui broutaient ça et là, de grand carrée dorée de blé. Ont a dû poser quelque question, en effet, nous n'avions que le prénom du type qui tenait la ferme que nous visions. Le doc foutait la trouille aux fermier, ils ont vite donné les indications pour qu'ont décanille de leurs paillasson.

Nous voilà dans une ferme donc, comme toute les autres... Un carré de culture qui avait été récolté il y a peu, un enclos à bête... Sans bête. Et surtout une grande grande de bois à peine taillé en planche et une maisonnée au toit de chaume.
J'ai infusé dans ma chevalière la magie nécessaire pour que son enchantement fasse effet, mes yeux se sont teinté d'un rouge flamboyant sous l'effet de la magie et j'ai observé.

"y'a personne dans la baraque... Ni même dans la grange, enfait y'a rien de vivant au alentours." Je prévins le doc.

"La terre est malade ici... Un fermier aurait du le voir..." Fit Oin, inquiète.

"Doc, je sais que vous aimez pas ça, mais..." J'informe le doc avant d'enfoncer la porte de bois branlante de l'habitation.

Le bois craque et le gond de ferraille rouillé saute sans aucun problème... Il était tout juste dissuasif vu l'état du fer.
Nous entrons, rien de bien particuliers. Un lit spartiate, une table, un âtre froid, et surtout une lettre laissé sur la table. Le doc est à côté, je lui désigne l'objet.

"y'a quelque chose d'utile d'écrit la dessus?" Je demande.

Le contenu des lettres.:

Il ne faut pas longtemps à eux deux pour prendre une décision. Je ressemble donc mes affaires et commence à partir, d'abord gêné par l'inquiétude visible des patients, ils sont ensuite rassurés par mes deux camarades de route. Nous partons pour les alentours de la ville, posant des questions à toute personne susceptible de nous répondre, ce qui n'a pas semblé difficile vu qu'ils semblaient avoir peur de moi, ça doit être le masque... En même temps ce dernier n'est pas là pour rassurer les gens. Après une bonne période dédiée à l'interrogatoire, nous arrivons à nous dirigez vers une ferme un peu suspecte.

Le fait qu'aucun animal ni même personne ne donne de signe de vie à notre arrivée est déjà suffisant pour que la situation commence à me rendre curieux. Les observations de mes deux compagnons sont correctes, il y a quelque chose dans la terre qui n'est pas normal, je peux le sentir... Et par sentir je ne parle pas de sens magique quelconque, je parle bel et bien de mon odorat, l'odeur est différente, étrange, mais je ne saurais pas vraiment dire en quoi immédiatement.

Je suis sorti de mes pensées par celui dont les yeux brillent en rouge, annonçant que je ne vais pas aimer ce qu'il compte faire.

- Faites, la situation le nécessite.

Ce dernier enfonce ensuite la porte, révélant le contenu de la batisse. Le fermier devait avoir de mauvaise conditions de vie, ou alors il est parti depuis longtemps. Avec une terre malade, ce n'est pas vraiment si étonnant. On me désigne une lettre posée sur une table. Ma curiosité prend donc le dessus et je m'empare de la lettre, peut-être y aura t-il des indices sur ce qui a bien pu se passer, pourquoi il n'y a personne et surtout pourquoi cette maladie est apparue. Je lis donc la lettre, me concentrant pour bien en comprendre les conséquences, puis c'est a la fin de ma lecture que je me prononce.

- Le fermier semble avoir demandé l'assistance de la garde pour régler ce qu'il juge comme étant une intrusion ayant pour but d'empoisonner sa terre. Il faudrait fouiller toute la zone pour trouver des indices, quoi que ce soit qui pourrait nous aider dans l'enquête. Il est possible qu'il y ait vraiment une intrusion et que le malfaiteur soit très doué pour masquer ses traces. Il faudrait également que je détermine qu'est-ce qui empoisonne ses terres pour déterminer si la fabrication d'un remède est possible.

Nous avons écouté le doc avec attention. Je me tourne vers Oin, la gestion de la nature c'est plutôt son truc à elle. Elle semble réfléchir un instant avant de prendre un vêtement qui traîne dan sla maisonnette du fermier de s'agenouiller devant Bob.

"Bob, tiens, sent, retrouve le pour moi." Dit elle au petit corgi. "Il a dû partir pour retrouver ce qui provoque tant de souffrance à la terre." Explique t'elle pour moi et le doc.

L'animal la fixe dans les yeux, puis roule sur le dos en aboyant joyeusement. Oin ne se démonte pas et se tourne vers moi en disant innocement.

"DOmmage, moi qui avait de délicieuses "friandise" pour les gentils corgi." dit elle en soulignant le mot "friandise."

Le petit animal se redresse sur ses courtes pattes et aboie avec détermination en venant renifler le tissu que lui tend l'elfe. Puis il détale vers l'extérieur, la truffe collé au sol. Nous le suivons, la petite boule caramel et crème fonce vers la grange de la ferme et vient aboyer devant les immenses portes closes.

Je m'approche prudemment. ET fait la serrure fermé depuis l'intérieur visiblement. Une odeur fétide nous frappe alors. Une odeur de moisissure et de pourri. Il y a des traces de sang sur le sol, en quantité. Des marques de griffes sur les parois de bois d'enclos pour bovins... Et un énorme trou dans le sol de terre meuble.

"Merde..." Je jure en approchant avec prudence alors que Bob aboie vers le trou. "Ont sait ce qui est arrivé au fermier maintenant." Je lâche sombrement.

Quand un sifflement semblable à celui d'un serpent résonne dans le trou, je fais de justesse un pas en arrière, lâchant le marteau pour me préparé à un souffle de feu. Je m'attendais à un serpent de terre, commun dans les terres de l'est, mais la surprise est totale. Une créature sort du trou soudainement, elle est fine, tout en longueur et avec une tête coiffée d'une sorte de coiffe fongueuse et une gueule aux dents acéré!

les bestioles:

"L'enculer!" Je jure en poussant un cris qui se change par mon gorgerin en un jet de feu qui viens incinérer la créature. Les sifflements se font plus nombreux et une autre bestiole sort du trou , celle ci je lui envoie un coups de pied bien sentis et j'entends comme un os qui se brise sous l'impacte. Puis je relance une langue de feu dans le trou pour dissuader tout nouvel arrivant.

"Quelle singulière créature!" S'exclame Oin en venant examiner la dépouille de celui dont j'ai brisé le cou à coups de pied. "Vous en avez déjà vu docteur? cela semble mi animal, mi fongique. je n'ai pas souvenir que ce genre de créature soit répertorié à uruk ou en Ocland" Demande l'elfe. Bob lui renifle la dépouille avant de venir se cacher derrière sa maitresse. qui examine les partit fongique de l'animal.

"En tout cas sa crame bien... Et sa meurt plutôt simplement." Je grogne en tâtant du bout de la botte la gueule de la chose.

Je suis le forgeron dans ses déplacement, observant en silence ce qui nous entoure en m'assurant que mon masque soit bien vissé sur mon visage. Ce masque est assez spécial pour moi, mais je ne m'attarderais pas dessus, ce n'est pas le sujet. Il ne faut pas longtemps pour que je sente les odeurs qui étaient confinées à l'intérieur, celles-ci ne me donnent que l'envie de partir, mais je doit découvrir ce qu'il s'est passé ici, pourquoi l'endroit à été vidé? Pourquoi se creux dans le sol?

Je regarde fixement le trou, laissant Chono s'en approcher sans rien dire. Un bruit, puis une créature sort du trou dans le sol et tente de s'en prendre à nous, mais heureusement mon camarade temporaire réagit assez rapidement et tue la créature. Je dégaine mon fauchon, prêt à faire face à la deuxième créature qui sort également du trou. Celle-ci est cependant elle aussi éliminée rapidement par mes partenaires particuliers et d'autres ne viendront sûrement pas, Chono semble s'en assurer.

Je m'approche donc de cette créature inconnue et commence à l'examiner.

- C'est curieux... J'ai lu bien des ouvrages, mais jamais je n'ai vu de créature similaire... Qu'est-ce que cela peut bien être... Il faudrait que je note tout cela pour me faire une meilleure idée et peut-être faire un rapport, mais ce n'est pas notre priorité tout de suite.

Je regarde dans la direction du trou, me relevant avant de m'en approcher sans pour autant rester trop proche, manquerais plus qu'une autre de ses créatures m'attrape.

- En tout cas, concernant la maladie... On a peut-être trouvés notre coupable... Si ils partagent les caractéristiques des champignons, alors ils doivent relâcher des spores, peut-être que ces spores combinés à l'eau ou à la terre à empoisonné les cultures...

Je vois Oin qui examine avec sa magie la peau de la créature, des fils d'énergie vertes fin comme des cheveux tâtant la créature morte, faisant paraitre la main de l'elfe comme une sorte de méduse. Elle reste un instant comme cela, avant de déclarer avec peine.

"En effet, les spores sont symbiotique de leurs peau, et toxique. Surement que la chance des pauvres gens est que ces spores ai été en grande partie brassé par la terres et les végétaux avant d'être consommer."

"Ont a notre coupable donc. Emballe celui ci Oin, nous le refourguerons aux érudits locaux, qu'ils l'étudie. Je vais descendre et noyer tout ça dans les flammes. Doivent plus êtres bien nombreux. Ce ne sont pas des gros animaux." Je préconise.

"Et pour le fermier?" Demande Oin.

"Ca fait vraiment beaucoup de sang... Il peut pas avoir survécu. Cela doit faire des jours que ces trucs l'ont choper. Ils l'ont déjà digérer." Je lâche gravement.

Je saute dans le trou. Il est assez étroit au finale. ET je dois m'accroupir pour être à hauteur de la galerie qui mène vers la tanière de ces choses. Je tend mes paumes en avant, et le rugissement du feu remonte contre les parois du trou et envahi la galerie, suivi de cris de souffrances.
Quand les cris cessent, je remonte à la surface et tape mes paumes l'une contre l'autre, essuyant la cendre.

"Eh bien, une affaire rondement mené doc, ont va..." Je lançait au doc avant qu'un grondement de terres retourner ne me coupe.

Bob est partit dans les bras d'Oin sans perdre une seconde en sentant la terre trembler. Nous sommes sortis en hâte de la grande. De la terre était sortis l'une des créature! Mais de la taille d'un troll, partiellement brûlé. Les yeux habité par la haine et l'envie de meurtre. Elle nous vit et poussa un rugissement de colère. Je n'ai pas mon arme de prédilection, alors je matérialise des flammes à mes poings, prêt à frapper. Oin pose Bob sur le sol et laisse la magie couler dans ses veines pour préparer des sorts offensif.

"Nous restes maman à stériliser doc." Je lui lance avec un sourire de prédateur.

Après que Oin ai confirmé mes propos, ils se mettent d'accord pour emballer l'une des créatures qui s'en est prise à nous, chose que je n'empêche pas. Je suis en train de réfléchir pour ma part. Si les spores et, par conséquent, la peau de ces créatures est toxique, alors en prenant des extraits de ces spores il serait possible de créer un remède, la seule chose qu'il me faudrait pour faire cela serait un échantillon de cette toxine ainsi que d'autres ingrédients pour éviter une rechute et ainsi un rétablissement correcte. Je regarde dans la direction du trou juste assez tôt pour voir Chono sauter a l'intérieur.

D'abord un peu surpris par l'action peu conventionnelle, je fini très rapidement par ne rien dire et juste le laisser faire, il doit savoir ce qu'il fait donc je ne vais pas l'interrompre. Je peux entendre les cris et la souffrance des créatures, ce qui me suffit pour comprendre que Chono a le contrôle de la situation et n'a pas vraiment besoin d'assistance. J'attends juste que monsieur sorte du trou pour ensuite discuter de la marche à suivre juste après, ce qui ne prend pas vraiment longtemps. Il essuie ses mains avant de s'approcher de moi et de commencer à parler, mais il est interrompu par un tremblement de terre.

Je me demande d'abord ce qui peut causer ça, puis je tourne mon regard vers le trou, me demandant si il n'y a pas des survivants à cette terrible fournaise. Ma prédiction s'est révélée juste quand une énième créature sort du trou, cette fois-ci plus grosse que les autres et nous hurlant dessus avec rage. Il n'en faut pas beaucoup pour que je comprenne qu'on viens de détruire son nid, possiblement ses enfants, et que cette mère est furieuse et prête à en découdre. Je m'arme donc de mon fauchon, prêt à me battre car je n'ai pas vraiment d'autre option dans ce contexte.

- Essayer de créer une diversion de votre côté, on devrais réussir à éliminer la bête assez rapidement si on inflige assez de dommages sur la partie de son corps déjà endommagée.

N'ayant aucune connaissance de comment ces créatures fonctionnent, je décide de donner des instruction en faisant appel à ma logique plutôt que mes connaissances. Je fonce donc sur le flanc de la créature, repérant l'endroit ou les flammes l'ont déjà endommagés, et je donne un grand coup de fauchon dans la partie brûlée, créant une grosse entaille dans le flanc de la créature qui lâche un hurlement de douleur avant de tourner son regard vers moi. Je suis peut-être docteur, mais ce n'est pas ma première danse avec un ennemi mortel.

Le doc ne nous a pas attendu! Il est déjà sur le flanc de la bête! Il est malin! Je me lance alors dans des lancer de boules de feu en série. J'esquivais les coups de pattes de la bestiole en sautant ou laissant mes bottes me propulser loin de la zone d'impacte qui tremblait alors sous les coups de notre adversaire.

musique:

Oin s'est positionné sur le flanc blessé du monstre et elle se met à incanté en tenant son bâton planté dans le sol devant elle. J'espère qu'elle va être rapide et efficace, pour ma part je danse pour ne pas me faire lacérer par des griffes de la tailles de petites épées en lançant des boules de feu comme un enfant lance des pierres!

Je me propulse en avant passant sous la gorge de la créature, générant un souffle de feu qui fit se dresser la bête sur ses pattes arrières. L'incantation d'Oin cessa à ce moment là et des racines se jetèrent sur la bestiole en éventrant la terre. Elle le saisirent de toutes part et se resserrèrent inexorablement. Déjà presque abattu par le coups du doc qui avait exposé les organes du monstre à l'air libre, la strangulations fini par écraser gorge, trachée et os jusqu'à arracher la tête du monstre dans un geyser de sang semblable à de la sève.

Je pose mes poings sur mes hanches. j'entend la garde de Luthia qui approchent à vive allure. Les soldats observent la carcasse de la créature avec stupéfaction. Je laisse le doc gérer avec les autorité locales, il les connait mieux que nous. Oin, Bob et moi mettons le cap vers la ville, je lève la main pour saluer le doc en m'exclamant.

"Mission accomplis Doc, ont vous laisse vous occuper de guérir la froide sueur, à la revoyure! Oublier pas notre pote haha!"

Nous, nous prenons la direction de l'auberge qui nous accueillait, j'avais envie d'un bain, d'une cruche de vin et de tabac. Mes cheveux étaient complètement ébouriffé et ma tunique taché du sang des créatures.

Le combat n'a pas duré très longtemps, j'ai frappé au bon endroit et la puissance de feu d'un de mes partenaires à vite eu raison des forces de la créature, cette dernière fut ainsi éliminée assez rapidement. Une fois le carnage réalisé, je range mon arme dans son fourreau, redressant rapidement mon masque qui s'était un peu penché sur le côté. La carcasse décapitée de la créature tombe au sol devant moi, soulevant légèrement mon manteau à cause du vent ainsi créé. Je regarde le corps de la chose avec un regard qui indique un léger mépris de cette chose qui a mis en danger la santé de plusieurs dizaines voire centaines de gens.

Je suis sorti de ma réflexion quand j'entends des pas se rapprocher dans mon dos. Je me retourne pour voir la garde de Luthia venir, possiblement pour offrir de l'assistance, même si ils sont arrivé un peu tard. Je vois la surprise sur leur visages, nous étions à trois contre un, la victoire semblait une chose logique de mon point de vue, je ne nous voyais pas perdre face à ce monstre. J'entends Chono me dire quelque chose avant que ce dernier prenne la route, il me laisse seul avec les gardes pour expliquer la situation, ce que je comptait faire de toute évidence. Je me tourne donc vers les gardes et éclaircit ma gorge avant de parler.

- La terre et l'eau étaient empoisonnés par les spores de ces créatures, il y en avait toute une colonie vivant sous la terre. Les créatures ont toutes été éliminées, la terre devrait bientôt redevenir fertile. Quand aux malades, maintenant que je sais d'où viens le mal, je peux confectionner un remède qui pourra les soigner.

Je vois plusieurs gardes montrer ouvertement leur joie, certains malades devaient être de leur famille. Le chef de l'escouade me remercie pour mes services, ce à quoi je lui répond que je n'était pas seul et que deux individus nommés Chono et Oin m'ont assistés dans la tâche, mais sont partis avant que je ne donne les explications. Nous sommes ensuite rentrés à Luthia, j'ai pu, en quelques jours, concevoir les premier remède et commencer à soigner les malades, en commençant par les plus susceptibles d'y succomber et ensuite l'amis de Chono et Oin comme "remerciement" pour l'assistance, je n'aurais jamais pu régler le problème seul. Quand à la garde, je les ai alertés et leur ai préciser de s'inquiéter si un fermier q=ou qui que ce soit d'autre clame avoir des visiteurs non voulus venus par le sol...